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25 novembre 2020 3 25 /11 /novembre /2020 06:00

J’ avais aimé la trilogie de la « Petite Boulangerie du bout du monde », alors j’ ai plongée dans les aventures d’ Izzy la pâtissière du Cup Cake Café, en 2 tomes.

On ne parle plus de pains divers et variés mais de gâteaux tous plus appétissants les uns que les autres!

Après s’ être fait licenciée par son futur ex petit ami, Izzy rêve de mettre en pratique les recettes de gâteaux apprises auprès de son grand’ père adoré.

Oui mais comment faire, par quoi commencer ?

Trouver un local, mettre à profit sa prime de licenciement, rencontrer un banquier en qui avoir confiance et pourquoi pas séduisant… Le chemin va être tortueux, semé d’ embûches mais son rêve la portera, c’ est sûr !

Elle découvre un joli petit magasin au fond d’ une ruelle pavée. Elle se lance et sa nouvelle vie commence.

~~~~~~~

Dans la suite, Noël au Cup cake café, tout a l’ air de marcher pour Izzy, ses gâteaux font fureur, elle travaille d’ arrache pieds avec Pearl et Caroline. Sa vie sentimentale est comblée par Austin son banquier préféré. Tout va bien dans le "plus joli quartier de Londres"  à ses yeux, jusqu’ au moment où Austin décroche une promotion à… New York !

Il y va, il y est, va – t – il  y resté ?

Doit – elle lâché son Cup Cake Café pour le suivre, ou pas ?

Dans n’ importe quelle décision elle perd ou l’ un  ou l’ autre

Passer sa vie en allers – retours entre Londres et Manhattan, impensable, impossible financièrement pour elle.

Et Noël est presque là. Elle qui rêve toujours de la magie de Noël, a – elle encore l’ espoir d’ y croire ?

Je me suis détendue en lisant cette histoire qui forcément finie bien, mais il n’ y avait pas de Neil comme dans la bouangerie…

 

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16 novembre 2020 1 16 /11 /novembre /2020 06:00

Quand mes enfants étaient petits, ils avaient du mal à admettre que le steak de leur assiette était la cuisse de la jolie petite vache vue dans le champ d’ à coté de la maison.

 « C’ est pas juste de la manger, ça lui a fait mal ! »

Et la carotte, et la salade et les fraises mangées toutes crues, alors !

Je n’ ai pas pu résister à l’ envie de découvrir ce livre pour la jeunesse.

A partir de 7 ans dit la Critique, j’ ai 10 fois 7 ans, ça va ?Et si ça va pas tanpis, je le lis quand même!

C’ est l’ histoire des destins tragiques et de leurs morts cruelles de  20 fruits et légumes toutes plus effrayantes les unes que les autres, des crimes commis par nous les humains.

 

le Chou

l' Artichaut

 

 

Sans doute par respect pour ces "héros", leurs noms  sont tous écrits avec une lettre majuscule.

Seul le piment leur fera justice à tous en infligeant à son bourreau un souvenir impérissable.

C’ est un livre avec de très belles illustrations et une jolie mise en page, qui fera juste un peu peur aux enfants, et un peu rire aussi, comme toutes ces histoires qui ne sont que de grandes  balivernes.

 

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19 octobre 2020 1 19 /10 /octobre /2020 05:00

Un samedi gris et pas engageant attendait que je prenne mon aiguille pour faire un bloc du projet fou. J' ai fait le dessin, choisis mes tissus, tracé mon bloc, enfilé l' aiguille et....J' ai voulu m' accorder une récréation lecture.

Il était 10h du matin...

Il est 16h30 et je n' ai pas repris mon aiguille! J' ai fini mon livre! C' était le 3ème opus de cette série: "La petite boulangerie du bout du monde."

J' avais littéralement avalé le 1er et le 2ème, je m' économisais le 3ème mais je n' ai pas résisté longtemps.

Du coup je groupe les deux livres en même temps:

La vie de Poly et de Neil son macareux continue au fil des saisons avec ses aléas et en odorama! Ça sent bon le pain tout chaud, les croissants croustillants et les embruns marins comme à Chausey. La vie, sa vie est faite de petits bonheurs tout simples et de problèmes qu' elle croit invincibles et qu' elle surmontera à coups sûrs.

Mais heureusement tout finit toujour bien sinon je n' aurais pas pu aller au bout de cette trilogie parfumée.

Et bonus supplémentaire, comme dans le premier, il y a aussi des recettes de pains et de gâteaux dans ces deux là aussi!

La seule chose que je regrette, c' est qu' au début du livre , il n' y ait pas le plan de cette île pour se repérer...

Si vous trouvez ces livres, n' hésitez pas c' est agréable à lire, avec une tasse de thé et une tartine de pain grillé où fond un peu de bon beurre salé.

 

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25 septembre 2020 5 25 /09 /septembre /2020 05:00

 

Je savais en achetant ce pavé, 570 pages, que c’ était le 1er tome d’ une série de 5. Et je n’ ai pas été déçue, à tel point que j’ ai hâte d’ attaquer le 2ème opus qui ne sortira que le 1er Octobre !

C’ est une saga, celle de la famille riche et bourgeoise, les Cazalet, les grands parents, leurs 3 fils et leurs épouses, leur fille unique, leurs nombreux petits enfants ainsi que le personnel de maison de chacune de leur famille, et les gouvernantes, tous réunis pour les vacances d’ été 1937 dans la grande maison familiale à la campagne tout près de la mer .

Il y a tellement de descriptions et de détails qu’ on est totalement immergé dans leur huit clos, et que l’ on participe à toutes leurs activités comme si on y était invité.

J’ ai adoré ! Et c’ est une lecture facile, pleine de détails subtiles et raffinés, pas inutiles pask’ on, je les attend, avec l’ ombre de l’ arrivée d’ une guerre qui plane au - dessus de ce qui semble être  une vie de petits bonheurs quotidiens.

Il va me falloir être patiente car les autres tommes ne sont pas prévus avant 2023 !

 

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11 septembre 2020 5 11 /09 /septembre /2020 05:00

Une abuela ( grand’ mère espagnole) lègue à sa petite fille une commode à 9 tiroirs, avec une couleur pour chaque et dans chacun, un morceau de sa vie entre son pays natal quitté sous la dictature franquiste et la France où elle est une étrangère .

J’ ai cru lire une autobiographie d’ Olivia Ruys, puis une biographie de sa famille …
Je me suis perdue dans les points communs entre elle, Olivia, qui a un fils nommé Nino et la narratrice qui a une fille Nina.

C' est un roman! C' est écrit sur la 1ère de couverture!

Donc c’ est un roman où, à chaque tiroir ouvert, un objet nous fait  dérouler le film de la vie de Rita, l’ abuela.  

On découvre les secrets et les destins de vies de 4 générations de femmes de la même famille, depuis la guerre civile espagnole de 1936 jusqu’ à nos jours en France.

C’ est tout un pan de l’ Histoire d’ Espagne qui mériterait que je m’ y intéresse de plus près.

 

 

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29 août 2020 6 29 /08 /août /2020 05:00

En panne de livre en fin de séjour, je ne pensais pas reprendre un livre. Pounet m' y a invitée en me disant:

"On ne sait jamais, des fois que....".

Dans les rayons d' Intermarché, les livres ne sont pas ceux de chez Cultura, mais j' en ai choisi un paske l' action se passe sur une île. Bon ce n' est pas Chausey mais ça m' a attirée quand même; et je n' ai pas été déçue.

C' est une chronique de la vie d' une ile perdue au fin fond des Cornouailles.

Polly avait tout pour être heureuse, un mari, une entreprise florissante et tout d' un coup c' est le naufrage de son mariage et de son travail.

Elle quitte son confort, ses ami(e)s, sa ville, Plymouth et part se réfugier sur l' ile de Mount Polbearne battue par les vents et les marées. Elle s' installe dans une ancienne boulangerie abandonnée et espère pouvoir repartir de zéro en faisant ce qu' elle aime: du pain! 

Elle se fait un ami dans sa solitude, un bébé macareux. Ils s' adoptent mutuellement.

Ce livre se déguste comme du pain chaud, c' est délicieusement frais, plein de rencontres et de petits bonheurs partagés. C' est une récréation.

Et en bonus, à la fin du livre il y a des recettes de pains , dont celle des shortbreads que j' adore!

Le truc en plus, c' est que ce livre a 2 suites que je vais m' empresser de trouver:

"Une saison à la petite boulangerie" et "Noël à la petite boulangerie".  

Promis je vous en parle dés que je les ai lus.

 

Pas sûre que ce soit Mount Polbearne...

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25 août 2020 2 25 /08 /août /2020 05:00

Pour mon séjour campagnard, j’ avais emporté un « pavé » de Michel Bussi de plus de 750 pages. Honnêtement j’ « oubliais » de l’ ouvrir car les patchs quotidiens de mon projet fou me prenaient beaucoup de temps, mais pas que .

Chez nous le 14 Juillet est une institution surtout quand il englobe un week end. Cela nous permet de fêter joyeusement l’ anniversaire de Pounet qui tombe le 12 du mois. Ce qui veut dire que la maison est pleine, des enfants, de Matthieu, et des amis, et que tout le monde mange et dort…

Une fois la maison plus au calme et après avoir pris un peu d’ avance sur le patch, j’ ouvrais enfin le livre.

J’ ai beau être cartésienne, agnostique, ne croire que ce que je vois, j’ aime la légende de l’ Arche de Noé, les Licornes, le Déluge, le Mont Ararat…

Ce livre est le scénario d’ un film d’ espionnage digne d’ un James Bond, un thriller d’ un Indiana Jones.
J’ ai repensé en souriant à une réflexion que j’ avais faite en cours de religion chez les Bonnes Sœurs en classe de terminale et qui m’ avait valu 4 heures de colle et un éclat de rire de mon père ! J’ avais osé dire : 

«  Finalement il n’ y a qu’ un seul Dieu mais il a plusieurs noms : Yahvé, Mahomet, Allah… »

Je n’ étais pas loin de l’ idée de ce récit.

J’ ai aimé ce roman ésotérique, ce thriller au rythme effrénée, parfois violent et cruel, cette intrigue historique et diabolique, cette course incroyable aux quatre coins du monde, mais il faut oser entrer dedans . Une fois qu’ on y est, on ne peut plus le lâcher.

 

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17 août 2020 1 17 /08 /août /2020 05:00

Comment dire. C’ est le titre et l’ image de la couverture qui m’ ont attirée. Brest, je connais donc je vais me promener, au sens propre, le long des pages de ce roman, de cette enquête policière.

Océanopolis, je connais pour y être allée, mais là il y a un truc bizarre dans l’ aquarium des requins… Une gamine en sortie scolaire y voit flotté un doigt avec du vernis à ongle .

 

Un bateau de croisière est bloqué pour avarie avec 2 membres du personnel disparus.

 

Ces 2 évènements sont – ils liés ?

Le port de commerce, j’ y ai déambulée, et je m’ y retrouve en lisant ces lignes.

 

J’ ai beaucoup aimé aller au bout de cette double énigme en forme de puzzle...( c' est le cas de l' écrire!) et naviguer en terrain connu.

Résultat: une envie irrépressible de retourner me perdre dans les petites rues du port de commerce, trouver des cartes postales des phares bretons qu' il me manque et re - rencontrer mes ami(e)s brestois(es) et presque!

 

 

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17 juin 2020 3 17 /06 /juin /2020 05:00

Je ne connais pas Franck Thilliez, mais le résumé de la 4ème de couverture m’ a interpellée, intriguée… Ma curiosité m’ a poussée à acheter ce livre. J’ avais juste « oublié » de lire le titre exact : à coté il y avait aussi écrit « et autres nouvelles ».

Je ne suis pas adepte de ces morceaux d’ histoires condensées dans un même livre. Peu importe, le résumé m’ attire :

 

« Voilà quelques mois que Marc, un exobiologiste français, a intégré la mission Acheron II au côté de cinq autres scientifiques internationaux. Leur but ? Étudier la possibilité d'une vie en autosuffisance sur Mars. Ils ne peuvent compter que sur leur ingéniosité, leur bon sens et leur intelligence pour mener à bien leur mission. Mais très vite, ils se sentent observés et perdent peu à peu le fil de la raison... »

 

 C' est cette 1ère nouvelle, la plus longue du livre, qui m' a le plus captivée.

Bref, j’ ai quand même persévéré, j' ai lu,  j’ ai tout lu, les 12 nouvelles de ce bouquin. Pask’ entamer l’ histoire c’ est vouloir quand même savoir comment elle va finir.

Dire que je n’ ai pas apprécié ne serait pas exact, mais que ce soit en film comme en livre, je n’ aime pas du tout la science - fiction.

Je suis réfractaire à ce qui n’ est pas mon monde, celui du présent, celui dans lequel je vis. Je suis peut être trop cartésienne pour croire à ces extravagances bizarres d’ écrivain. Je préfère le roman, même si ce n' est pas non plus la réalité. 

Plonger dans les troubles psychiques, les psychoses, la paranoïa, le dédoublement de personnalité, ce n’ est décidément pas pour moi.

Une seule de ces nouvelles, la dernière du livre, "Le Grand Voyage",  m' a parue réaliste et a résonné comme un parallèle à la crise sanitaire que nous venons de vivre ces derniers mois, en moins dramatique.

Ce livre est un mélange de thrillers et de policiers à la sauce « suspens » .

Je vais retourner chez Michel Bussi , Marc Lévi ou Guillaume Musso. Et même pourquoi pas un "joli bonbon doux" avec Aurélie Valognes. A bientôt donc.

 

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5 juin 2020 5 05 /06 /juin /2020 05:00

Juste un gros détail :je ne suis pas musicienne, je sais qu’ il y a 8 notes, voire 9, qu’ elles ont des déclinaisons de dièses et de bémols, mais c’ est comme de l’ hébreu pour moi !

J’ entends juste mais je chante très très faux ! Je ne sais pas écouter la Musique avec un grand M, je ne fais que l’ entendre, mais je reste sensible à certaines mélodies, « La Marche Turque » de Mozart, « La symphonie du Nouveau Monde » de Dvorak, « L’Hymne à la Joie » de la 9ème de Beethoven et d’ autres de Bach…

J’ ai lu ce livre sur les conseils d’ une amie, à la suite de ce que je disais du précédent opus d’ Eric Emmanuel Schmitt. C’ est comme une dissertation, ou plutôt une conversation à une voix retranscrite en moins de 100 pages qui se lit très facilement. 

Eric Emmanuel Schmitt a 9 ans quand il entend sa tante adorée jouer du Chopin sur le piano familial qui était jusqu’ alors un intrus pour lui. Du coup il décide d’ apprendre le piano mais les sons qu’ il sort n’ ont rien à entendre avec ce que sa tante produisait, et Chopin lui reste inaccessible.

Etudiant à Paris, il décide de s’ y remettre sous la houlette d’ une polonaise excentrique vivant avec des chats et une araignée qu’ elle croit mélomane.

Madame Pylinska a une pédagogie très spéciale et une intransigeance à la hauteur de son extravagance et de ses frasques. En tous cas Eric Emmanuel Schmitt réussit à apprivoiser les notes de Chopin en même temps que ses leçons de piano deviennent aussi l’ apprentissage de la vie. Il devient sensible, moins philosophe, plus près de la nature qu’ il apprend à « voir ».

Je vais continuer à explorer cet auteur, finalement beaucoup moins hermétique et philosophe que je le pensais.

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Présentation

  • : La cour de re - créations de Mimi
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Maman 3 fois, Mamy 1 fois, et Mimi tout le temps, j' ai toujours eu des fourmis dans mes 10 doigts. Ils ne se sentent bien qu' en tripatouillant des fils et des tissus. Et puis certains mais pas tous, aiment aussi écrire au crayon ou au clavier.

Merci de vos visites, en espérant que ma cour de ré - créations sera aussi la vôtre.

A bientôt.

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