Après cette dernière semaine difficile tant par la chaleur que psychologiquement, nous prenons à peine le temps de retrouver nos marques, et au petit déjeuner, on décide de partir à la campagne le plus vite possible.
Juste le temps de préparer trois quatre trucs, de charger la voiture, d' attraper Ficelle et à 10h30, on prend la route, sous le soleil toujours...
Et puis, une fois arrivée, je m' installe à la Kabane avec mon matériel. J' ai de quoi faire: un patch coupé à monter, un autre à quilter et des papillons à créer. J' ai tout sauf... ma trousse de couture!!! Pas la moindre aiguille, ni de fil à quilter...
En attendant d' aller chercher ça à Blois, je trace au moins les lignes de quilting, ça occupe et je trouve qu' il y en a beaucoup, trop même...!
Quoi d' autres? J' aide Pounet à monter son nouveau barbecue et il y a des tas de pièces. C' est un truc géant! Au bout de 2 heures, il prend forme mais c' est loin d' être fini.
Depuis 2 jours, chaque matin une carte postale m' attend dans la boîte aux lettres. J' ai emmené mon classeur de départements avec moi, il est énorme et ma carte de France se remplit petit à petit. J' ai fait une mise à jour dernièrement.
Déjà la fin de semaine arrive avec les enfants leurs moitiés, les amis et un programme des journées d' anniversaire où le temps va défiler trop vite.
On va inaugurer le gros, l' énorme barbecue de Pounet, son cadeau. Sûre qu "ils " vont "se battre" pour l' essayer: "ils" ce sont les hommes de la maison.
Je ne croyais pas si bien dire: il n' y a eu que Pounet qui n' y a pas encore touché!!!
La " tradition" du relais olympique, "torche" en main autour de la maison n' a pas manqué de nous provoqer des éclats de rire, on a chanté à tue tête et très faux jusque tard dans la nuit chaude du jardin.
Et puis des balades à 8 à l' usine de gateaux, des parties de tarot pleines de rires et de bagarres.
Bref, ce fut un week end comme je les aime.
"Il faut s'efforcer d'être jeune comme un Beaujolais
et de vieillir comme un Bourgogne"
Robert Sabatier