Un seul mot pour définir ce début de semaine: RECUPERATION.
On est passé de 10 à seulement 2 en moins de 4 heures dimanche...Depuis je lave, je range, je repasse quand le linge veut bien sécher, j' aspire mais je ne passe pas la serpillière, le taux d' humidité fait que les sols ne sèchent pas.
Il pleut sans discontinuer pendant des heures, puis le soleil tente une percée derrière les nuages, mais ils sont plus forts que lui et on reste sous un ciel gris voire plombé.
Il faut dire qu' après avoir eu l' été en Mais et Juin, on est en automne en Juillet!
J' ai renfilé mon survêt', comme en Octobre. Je me remets au thé de 16 h, même que ma bouilloire "a mouru" d' un coup!
Mimine et Ficelle cherchent l' endroit le plus douillet pour leurs siestes quasi permanentes.
Pour se rassurer, ou pas... le calendrier confirme qu' on est en Juillet et que c' est l' été!
Je suis fatiguée de me lever vers 6 h du mat'. Il m' arrive même de piquer du nez dans la banquette devnt le Tour de France.
J' avance quand même un peu le quilting sur des sets de table, je brode aussi mais lentement...
Ce samedi 23 Juillet:
Le soleil a l' air de bien vouloir rester dans le ciel plus de 30 secondes d' affilé. Il joue néanmoins à cache - cache avec de petits nuages.
Pounet en profite pour passer le tapis du salon au cracheur d' eau. Il ne sera pas sec demain mais au moins égoutté. Il finira son séchage au garage.
Dimanche 24 Juillet:
Ca y est, il n' a pas gagné la guerre, mais juste une bataille.
Qui?
Le soleil, pardi!
Déjà hier il était passé à l' offensive, et depuis ce matin il fait battre en retraite toute l' armée des nuages. Mais le vent, son allié du jour souffle fort, trop fort...
Le tapis sèche sur l' herbe.
Je regarde le Tour de France juste pour les images de la région parisienne vue des hélicos, essayant de reconnaître des quartiers connus. C' est la seule étape où il y a autant de vues aériennes.
Comme j' ai rempli mon contrat "patch et couture de vacances", je me bidouille un chat en feutrine devant la télé.
"Nous n' arrivons pas à changer les choses suivant notre désir, mais peu à peu notre désir change."
Marcel Proust
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